L’actualité immédiate

Pour les élections départementales de juin 2021, le PS de Rueil a décidé de ne pas présenter de candidat sans soutenir les listes proposées au rueillois.
Le PS de Rueil se concentre sur les élections régionales en soutenant Audrey Pulvar candidate du Parti socialiste et continue son travail au sein du Conseil Municipal de Rueil-Malmaison tout en préparant les prochaines échéances.

La situation actuelle

Les adhérents de la ville constituent la section de Rueil, unité de base de la vie du parti. C’est en section que se votent les différents textes nationaux et en particulier les motions de congrès. Les conventions (pour la définition des orientations) et les congrès (pour le renouvellement des organes de direction), tant au niveau fédéral que national se contentent de collationner les votes des sections. Ce qui n’exclut pas, bien entendu, des discussions et négociations serrées à ces deux niveaux.

La section de Rueil reste pilotée par une Commission Administrative (autrefois Commission Exécutrice de Section). En principe la CA est renouvelée après chaque Congrès. Chaque motion présente une liste de candidats et la CA est constituée à la proportionnelle (chaque motion obtient un nombre d’élus proportionnel aux voix recueillies). En pratique depuis 2008, la CA est constituée d’un ensemble d’une dizaine de volontaires.

Dans les années 70 et au début des années 80, pour faciliter le fonctionnement de la section, des unités de quartier et des groupes de travail thématiques avaient été constitués.. Nous nous attachons actuellement à refaire fonctionner certains groupes, en particulier sur des problèmes liés à la vie municipale.

La section de Rueil est bien entendu membre de la Fédération des Hauts-de-Seine. Le Conseil Fédéral joue le rôle de « Parlement de la Fédération ». Le bureau fédéral et le secrétariat fédéral sont l’exécutif de la fédération.

L’équipe

Regard en arrière

Voici longtemps que les socialistes de Rueil sont organisés en section. En 1953, par exemple, dans le cadre de la SFIO, la section rassemblait 28 adhérents et une douzaine de sympathisants.

Le déclin de la SFIO s’est accompagné d’un affaiblissement de la section, si bien qu’aux élections municipales de 1971, elle s’est bornée à participer à une liste dirigée par le Groupe d’Action Municipale de Rueil (GAM), aujourd’hui disparu.

A partir de Juin 1971, date du Congrès d’Epinay qui a rassemblé tous les spécialistes dans un même parti, la section de Rueil a vu ses effectifs et son influence politique croître régulièrement.

Les secrétaires de section ont été successivement, Bernard JANVIER, Jean GIROUD, (après le Congrès de Pau de 1975), Gérard TOLLA (après le Congrès de Nantes de 1977) et Michel LAGACHE (après le Congrès de Valence de 1981).

De 1983 à 1993 les effectifs de notre section ont nettement diminué. La centaine d’adhérents de la fin des années 70 et du début des années 80 s’était réduite à une trentaine au début des années 90. Les réunions de section, qui regroupaient plusieurs dizaines de personnes au centre aéré de Suresnes au début des années 80 font partie du passé. L’usure du pouvoir, certaines tensions internes (cf infra) expliquent cette érosion. Résumons l’évolution récente :

1985 : Congrès de Toulouse (dont l’enjeu sera résumé par notre camarade de l’époque D. Motchane en « Toulouse or not Toulouse », perdre ou ne pas perdre au scrutin de 1986).
Bernard Janvier redevient seul secrétaire de section.

2007, année d’une élection présidentielle, le nombre d’adhérents à notre section a atteint la centaine. L’arrivée au premier rang de la scène politique de Ségolène Royal et la possibilité d’adhérer avec une carte à 20 euros expliquent certaine cette forte augmentation d’adhésions

1990 : plus de soixante adhérents participent au vote des motions pour le congrès de Rennes. La motion Rocard obtient une majorité relative devant les motions Chevènement et Poperen. J.P. Favennec devient le secrétaire de section.
La période 90-93 est particulièrement difficile. Deux courants coexistent dans la section : un courant (pour l’essentiel rocardien) qui soutient l’action des gouvernements socialistes, un courant (chevènementiste) très critiqué vis-à-vis de cette action. Le référendum de 1992 (Traité de Maastricht) illustrera très clairement une rupture de fait puisque les chevènementistes soutiendront le non. En 1993, emmenés par Jean Giroud, nos ex camarades rejoindront le Mouvement des Citoyens.

1993 : après le Congrès du Bourget, Nicolas Duranté devient secrétaire de section.

1987 : Après le Congrès de Lille, Jean Giroud reprend le secrétariat de section.

1994 : au moment du Congrès de Liévin Nicolas Duranté est reconduit dans ses fonctions de secrétaire, mais il nous quittera (pour cause de déménagement) dès la fin de l’année. J.P. Favennec assume un intérim jusqu’à la désignation de Souhila Nador en octobre 1995.

1997 : Jean-Pierre Favennec redevient secrétaire de section au Congrès

2000 : Le secrétariat de section passe de Jean-Pierre Favennec à Bertrand Rocheron fin 2000. Bertrand restera secrétaire jusqu’en 2008.

2008 c’est Jean-Pierre Favennec qui redevient secrétaire de section.

2011 c’est Roland Toulouse qui prendra le flambeau.

L’Elue au Conseil Municipal est Martine Jambon.

2015 Jacob Pinto devient secrétaire

2018: La disparition de Roland Toulouse puis de Jacob Pinto en 2018 conduira Jean-Pierre Favennec à redevenir secrétaire de section.